Dan Scanlon

Puis le film prend une tournure tragique et c’est là que le public est surprit. Un monde incertain, anarchique, déchiré entre la violence aveugle et un immense désir de paix, est né en même temps que le film de Nicholas Ray, la fureur de vivre, qui faisait une idole et un modèle de ce grand garçon blond et triste incarnant l'adolescence révoltée. Car voilà ce qui manque cruellement au film : du réalisme. Ce film m’a surpris, tout d’abord le titre français me faisait penser que La fureur de vivre serait une ode à la liberté et que j’allais assisté à un Easy rider avant l’heure.

Le compositeur qui dirigera plus tard le score de Le récit construit autour d’un scénario riche en conflits (père/fils, père/mère, jeunes/adultes) atteint son climax dans un final qui laisse transparaître un léger espoir.

Seulement voilà, un problème se pose : je l'ai vu y'a quelques semaines, et je dois vous confesser un détail vraiment gênant : le film m'a déçu au point de n'en n'avoir pas la moyenne. Vèritable description du monde de la violence juvènile des annèes 50, "Rebel Without a Cause" est avec "Johnny Guitar" le chef d'oeuvre de Nicolas Ray qui, de bout en bout, maîtrise remarquablement sa mise en scène! De plus, un réel défaut d'écriture se trouve sur les personnages, surtout sur Platon, terriblement mal foutu, au niveau de la personnalité. Nicholas Ray parvient à contourner le code Hays encore en vigueur dans les années 50 avec plus ou moins de subtilité en traitant de l’homosexualité.

Elle est d’autant plus choquante que celle-ci est juvénile.

Suivre son activité Tout au long du film les symboles s’enchaînent. Publiée le 2 octobre 2014

Dire que James Dean a joué dans si peu de films sur grand écran, mais quels film! : Différents indices présagent une fin sombre. Publiée le 22 avril 2013 Un chef-d'oeuvre intemporel et universel qui parle d'amour, d'amitié, de rébellion face à l'ordre établi, et d'idéalisme.

En effet ce dernier est sorti dans les salles en 4 …

Car elle ne peut taire la passion qui la consume et la condamne.

Ce film met en avant le monde dans lequel vivent les adolescents des années 50, mais surtout la violence juvénile dont ils étaient coupables.

Il y a une tension dramatique durant tout le film qui est magnifique.

Critique subjective.

Fureur de vivre l'instant présent, d'évacuer son mal-être et d'arracher sa place dans la société traditionaliste en flirtant avec la Mort. Babelio vous suggère

Tout commence comme un « teen movie » qui enchaîne tous les clichés possibles pour finalement se révéler être une véritable tragédie contemporaine. Ils sont parfaits dans leurs rôles car eux-mêmes, représentaient la jeunesse qu’ils dépeignent à l’écran.

Dans la fureur de vivre tout son talent nous explose à la face. Il est vrai que le film de Nicholas Ray a quand même vieillit et qu’il présente des clichés encore inévitables à l’époque, mais ce n’est pas trop dérangeant et puis la présence de James Dean et Natalie Wood à l’écran nous le fait vite oublier.

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Le jeune homme veut s’approprier ses deux camarades afin qu’ils jouent un rôle de parents à son égard.

L'histoire, dont les ingrédients de base sont : amitiés, bravoure et honneur évoque également les amours d'ados et les conflits parentaux. Une belle photographie et une très grande réalisation de Nicholas Ray de 1956. Suivre son activité

Seulement, voilà qu'ils ne sont jamais aidés par les dialogues de l'oeuvre, vieillissants, cuculs, ridicules parfois; faut quand même avouer que certains moments tombent dans le stéréotype à l'eau de rose; le moment où elle parle des lèvres de James Dean, c'était vraiment trop pour moi; j'ai pas pu tenir mon attention plus longtemps sur les répliques que les mecs s'envoient ( pendant cinq minutes seulement, je vous rassure ).

La présence de James Dean à l'écran est impressionnante, il fait de ce film un chef d'oeuvre!

Télérama vous donne les clés pour mieux comprendre et apprécier (ou non) une offre film, série, documentaire inépuisable.

Dommage, je m'attendais vraiment à mieux.

La mère de Jim arrive, cette dernière semble paniquée et surprise par le retour de son fils au milieu de la nuit.

Indications temporelles : 55:45 – 1:02:41. Lire ses 56 critiques

On passe facilement d’une émotion à une autre, le film navigue entre moments légers et scènes violentes dans un scénario plein de justesse et d’intelligence.

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la fureur de vivre critique